Aux premières heures de la Révolution industrielle, les indicateurs de temps traditionnels (le soleil et le clocher de l’église paroissiale) étaient bien insuffisants. Le temps, c’est de l’argent! Il fallait donc commencer à rythmer la vie des travailleurs au tic-tac des horloges. Pour les entrepreneurs, il importait d’abord d’être efficient, c’est-à-dire de réaliser un objectif avec le minimum de moyens engagés. Chaque seconde devenait précieuse. Conséquemment, pour les travailleurs, la ponctualité et la bonne gestion du temps n’étaient plus seulement des qualités, elles devenaient des pré-requis à l’emploi et des conditions à l’inclusion sociale.